Erik Satie fût un compositeur et pianiste français (1866-1925). Inclassable, il a été reconnu comme précurseur de plusieurs mouvements, dont le surréalisme, le minimalisme, la musique répétitive et le théâtre de l'absurde. Il est mort dans la pauvreté. Il a composé des morceaux de musique uniques.
Le monde du surdoué est fait d'imagination, de rêves, de découvertes, d'émerveillement et de créativité. Il veut savourer la vie et enchanter le monde. Le plus dur dans son existence sera de savoir délier son âme et de comprendre enfin qu'il peut aussi contribuer à rendre le monde meilleur. The non-French speakers can use the embedded tool to translate the blog in their language. Thank you. Contact : lemondedusurdoue@gmail.com
5 mai 2020
19 avril 2020
Confinement et solitude
Le confinement et les moments de solitude permettent de se retrouver, de faire le point avec soi-même : se laver les dents, prendre sa douche, se balader seul. Il est simple de perdre du temps. Mais c'est aussi pendant ces moments avec soi-même que l'on peut avoir ses idées les plus brillantes. Comment vivre la solitude alors ? Un conseil : considérer la solitude comme une activité à part entière !
La psychanalyste Françoise Dolto disait que « la solitude m'a toujours accompagnée, de près ou de loin, comme elle accompagne tous ceux qui, seuls, tentent de voir et d'entendre, là ou d'aucuns ne font que regarder et ecouter. Amie inestimable, ennemie mortelle - solitude qui ressource, solitude qui détruit, elle nous pousse à atteindre et à dépasser nos limites. »
Charles de Gaulle écrivait que « dans le tumulte des hommes et des événements, la solitude était ma tentation. Maintenant, elle est mon amie. De quelle autre se contenter quand on a rencontré l'Histoire. »
Coco Chanel pensait que les hommes et les femmes réagissent différemment à la solitude : « Il n’y a rien de pire que la solitude. La solitude peut aider un homme à se réaliser ; mais la solitude détruit la femme. »
Le philosophe Gilbert Simondon pensait que « la véritable relation transindividuelle ne commence que par-delà la solitude », et que « le véritable individu est celui qui a traversé la solitude ; ce qu’il découvre au-delà de la solitude, c’est la présence d’une relation transindividuelle. » Une relation transindividuelle est une relation qui dépasse l'indivu, qui le transcende.
La solitude est un élément essentiel de la découverte de soi et de la maturité émotionnelle. La réflexion qui en résulte peut amener à une connaissance approfondie de soi. Être seul nous force à réfléchir sur tous les facettes de notre personnalité.
Michel de Montaigne a popularisé l'idée de la solitude comme un moyen intellectuel de nous séparer de la foule et, par la même, de se forger un point de vue unique et une certaine indépendance d'esprit.
Martin Heidegger, qui avait l'habitude de s'isoler dans un cottage (« la hutte ») à la montagne, disait que « la solitude n'est pas faite pour échapper au monde, mais pour le rencontrer ». Dans le même ordre d'idée, le cinéaste Ingmar Bergman, qui s'isolait aussi dans une cabane en bois, écrivait : « ici, dans ma solitude, j'ai l'impression que je contiens beaucoup d'humanité ».
En effet, dans le silence, nous pouvons entendre le monde autour de nous. Cette solitude nous apporte une grande authenticité, que nous pouvons entretenir et afficher lorsqu'on se retrouve au milieu des autres. La clé de la créativité est un équilibre entre se concentrer sur soi et se concentrer sur les autres, entre intériorité et extériorité, entre profondes réflexions et actions motivées.
Immergez-vous dans la solitude. Accordez-vous du temps et de l’espace afin de parvenir à vous éloigner des attentes extérieurs, des conversations, du bruit, des médias et de la pression. Prenez chaque jour le temps de sortir marcher et de réfléchir. Asseyez-vous sur un banc dans un parc et regardez autour de vous. Partez en voyage, afin de réfléchir. Qu’importe ce que vous faites, éloignez-vous de ce qui vous distrait et vous empêche de contempler votre vie et la direction que vous voulez lui donner. Dans la solitude, vous devrez vous sentir indépendant et auto-suffisant, et non seul, dans le besoin, ou effrayé.
Tout le monde a besoin de passer du temps seul, que vous soyez introverti, extraverti, célibataire, en couple, jeune ou vieux. S’isoler est nécessaire pour se régénérer, s’écouter, pour trouver la paix intérieure, et pour réaliser que la solitude, lorsqu'elle est voulue, n’est pas une mauvaise situation, mais bien davantage un passage libérateur de votre existence. Si vous êtes créatif, vous pourriez découvrir que la solitude stimule votre créativité. Il est bon de collaborer avec d’autres personnes de temps en temps, mais il est difficile d’être réellement créatif lorsque vous êtes constamment entouré de gens. Prenez du recul et puisez dans votre créativité.
Et n'oubliez pas : c'est votre attention qui détermine votre réalité.
La psychanalyste Françoise Dolto disait que « la solitude m'a toujours accompagnée, de près ou de loin, comme elle accompagne tous ceux qui, seuls, tentent de voir et d'entendre, là ou d'aucuns ne font que regarder et ecouter. Amie inestimable, ennemie mortelle - solitude qui ressource, solitude qui détruit, elle nous pousse à atteindre et à dépasser nos limites. »
Charles de Gaulle écrivait que « dans le tumulte des hommes et des événements, la solitude était ma tentation. Maintenant, elle est mon amie. De quelle autre se contenter quand on a rencontré l'Histoire. »
Coco Chanel pensait que les hommes et les femmes réagissent différemment à la solitude : « Il n’y a rien de pire que la solitude. La solitude peut aider un homme à se réaliser ; mais la solitude détruit la femme. »
Le philosophe Gilbert Simondon pensait que « la véritable relation transindividuelle ne commence que par-delà la solitude », et que « le véritable individu est celui qui a traversé la solitude ; ce qu’il découvre au-delà de la solitude, c’est la présence d’une relation transindividuelle. » Une relation transindividuelle est une relation qui dépasse l'indivu, qui le transcende.
La solitude est un élément essentiel de la découverte de soi et de la maturité émotionnelle. La réflexion qui en résulte peut amener à une connaissance approfondie de soi. Être seul nous force à réfléchir sur tous les facettes de notre personnalité.
Michel de Montaigne a popularisé l'idée de la solitude comme un moyen intellectuel de nous séparer de la foule et, par la même, de se forger un point de vue unique et une certaine indépendance d'esprit.
Martin Heidegger, qui avait l'habitude de s'isoler dans un cottage (« la hutte ») à la montagne, disait que « la solitude n'est pas faite pour échapper au monde, mais pour le rencontrer ». Dans le même ordre d'idée, le cinéaste Ingmar Bergman, qui s'isolait aussi dans une cabane en bois, écrivait : « ici, dans ma solitude, j'ai l'impression que je contiens beaucoup d'humanité ».
En effet, dans le silence, nous pouvons entendre le monde autour de nous. Cette solitude nous apporte une grande authenticité, que nous pouvons entretenir et afficher lorsqu'on se retrouve au milieu des autres. La clé de la créativité est un équilibre entre se concentrer sur soi et se concentrer sur les autres, entre intériorité et extériorité, entre profondes réflexions et actions motivées.
Immergez-vous dans la solitude. Accordez-vous du temps et de l’espace afin de parvenir à vous éloigner des attentes extérieurs, des conversations, du bruit, des médias et de la pression. Prenez chaque jour le temps de sortir marcher et de réfléchir. Asseyez-vous sur un banc dans un parc et regardez autour de vous. Partez en voyage, afin de réfléchir. Qu’importe ce que vous faites, éloignez-vous de ce qui vous distrait et vous empêche de contempler votre vie et la direction que vous voulez lui donner. Dans la solitude, vous devrez vous sentir indépendant et auto-suffisant, et non seul, dans le besoin, ou effrayé.
Tout le monde a besoin de passer du temps seul, que vous soyez introverti, extraverti, célibataire, en couple, jeune ou vieux. S’isoler est nécessaire pour se régénérer, s’écouter, pour trouver la paix intérieure, et pour réaliser que la solitude, lorsqu'elle est voulue, n’est pas une mauvaise situation, mais bien davantage un passage libérateur de votre existence. Si vous êtes créatif, vous pourriez découvrir que la solitude stimule votre créativité. Il est bon de collaborer avec d’autres personnes de temps en temps, mais il est difficile d’être réellement créatif lorsque vous êtes constamment entouré de gens. Prenez du recul et puisez dans votre créativité.
Et n'oubliez pas : c'est votre attention qui détermine votre réalité.
14 février 2020
Comment changer sa perception de la vie ?
Voyons plusieurs approches de notre vie, différentes visions qui vont nous permettre de voir les choses différemment et d’ajuster notre comportement pour réaliser pleinement notre potentiel et merveilleusement s’épanouir.
Notre vision
Commençons d’abord par cerner notre situation et à comprendre notre vision du monde. C’est le cœur de notre algorithme et de notre vision actuelle de la société. Quelle est notre occupation quotidienne (essentiellement le travail, mais cela peut être une activité privée ou associative) ? Quelles sont nos expériences passées ? Comment percevons-nous notre vie professionnelle ? Où vivons-nous ? Où avons-nous vécu ? Aimons-nous notre environnement actuel ? Avons-nous en mémoire un lieu que nous regrettons ? Ou une destination de rêve ? Les questions sont multiples. Il s’agit de mettre au clair où nous en sommes. Le but de cette démarche n’est pas d’avoir des regrets ni d’être satisfait de nous-mêmes, il faut juste être honnête. J’ai constaté que le monde moderne se divise en deux types de personnes, ceux qui se sous-estiment et ceux qui se surestiment. Essayons d’avoir une approche simple et authentique de qui nous sommes.
La vision de nos proches
Il s’agit essentiellement des parents. Ce sont eux qui nous ont éduqués, donc qui nous ont transmis le paradigme qui organise notre personnalité. Les proches regroupent aussi, au second plan en général, la famille au sens large et les amis. Toutes ces personnes souhaitent que vous soyez heureux, que vous vous intégriez dans la société et donc que vous rentriez dans la boîte qui vous a été attribuée.
La vision neutre
C’est celle du passant, de la personne que vous croisez pour la première fois ou que vous rencontrez tous les jours, mais qui ne vous connaît pas et dont vous ne savez rien. Elle ne vous veut pas de mal, mais se moque de ce que vous faites et de vos projets. À l’occasion d’une rencontre impromptue, elle ne vous contrarierait pas sur les souhaits que vous avez. Si vous partagiez avec elle votre envie de construire une capsule spatiale et d’aller sur la lune, elle vous encouragerait probablement. Elle est neutre. Elle s’en fout, en fait.
La vision divine
C’est une vision mystique de la vie. En délivrant votre savoir aux autres (sous forme d’enseignement, par exemple), vous partagez votre don avec le monde. Vous faites un monde meilleur, vous aidez votre prochain. Cela peut paraître un peu extravagant, mais cette vision est nécessaire pour donner du sens à nos vies. Prenons un exemple. Une amie me confessait que son travail d’aide-soignante dans une maison de retraite la déprimait. Les astreintes de nuit, les soins lourds et humiliants à donner aux patients, les émotions liées à la décrépitude, tout un environnement qui détruit à petit feu. Je lui ai suggéré de voir la situation de façon différente, histoire de lui remonter le moral. En lui disant que ce travail était pour moi un vrai sacerdoce, il comportait un aspect essentiel : donner de la dignité à des êtres humains qui sont les naufragés de nos sociétés modernes (autrefois les vieux mourraient en famille). Cette vision philosophique permet de donner du sens à des tâches souvent ingrates. Chacun d’entre nous avons une place essentielle dans la société et sur Terre. Essayons de voir cet aspect mystique dans notre vie quotidienne.
La vision des mentors
Vous pouvez avoir un ou plusieurs mentors. Ce sont des personnes que vous connaissez personnellement, que vous suivez sur Internet ou que vous lisez régulièrement. Ils vous apportent une bouffée d’air frais dans votre vie. Leur vision du monde vous encourage à progresser, à grandir, à devenir la meilleure version de vous-mêmes. Ils vous encouragent à opérer des changements dans votre vie. Leur approche est dynamique et pleine de promesses.
Nous venons donc de détailler cinq façons de voir le monde, comme cinq paires de lunettes qui nous donnent une vision différente de la vie. Ils en existent beaucoup d’autres. Chacun est libre d’établir son propre éventail de visions. Celles-ci sont cependant les principales, mais rien n’interdit d’avoir d’autres approches comme une vision systémique, une vision pragmatique, une vision aristocratique, etc… Le plus important est de changer de lunettes de temps en temps pour pouvoir progresser et ne pas rester bloqué dans une situation stérile.
Commençons d’abord par cerner notre situation et à comprendre notre vision du monde. C’est le cœur de notre algorithme et de notre vision actuelle de la société. Quelle est notre occupation quotidienne (essentiellement le travail, mais cela peut être une activité privée ou associative) ? Quelles sont nos expériences passées ? Comment percevons-nous notre vie professionnelle ? Où vivons-nous ? Où avons-nous vécu ? Aimons-nous notre environnement actuel ? Avons-nous en mémoire un lieu que nous regrettons ? Ou une destination de rêve ? Les questions sont multiples. Il s’agit de mettre au clair où nous en sommes. Le but de cette démarche n’est pas d’avoir des regrets ni d’être satisfait de nous-mêmes, il faut juste être honnête. J’ai constaté que le monde moderne se divise en deux types de personnes, ceux qui se sous-estiment et ceux qui se surestiment. Essayons d’avoir une approche simple et authentique de qui nous sommes.
La vision de nos proches
Il s’agit essentiellement des parents. Ce sont eux qui nous ont éduqués, donc qui nous ont transmis le paradigme qui organise notre personnalité. Les proches regroupent aussi, au second plan en général, la famille au sens large et les amis. Toutes ces personnes souhaitent que vous soyez heureux, que vous vous intégriez dans la société et donc que vous rentriez dans la boîte qui vous a été attribuée.
La vision neutre
C’est celle du passant, de la personne que vous croisez pour la première fois ou que vous rencontrez tous les jours, mais qui ne vous connaît pas et dont vous ne savez rien. Elle ne vous veut pas de mal, mais se moque de ce que vous faites et de vos projets. À l’occasion d’une rencontre impromptue, elle ne vous contrarierait pas sur les souhaits que vous avez. Si vous partagiez avec elle votre envie de construire une capsule spatiale et d’aller sur la lune, elle vous encouragerait probablement. Elle est neutre. Elle s’en fout, en fait.
La vision divine
C’est une vision mystique de la vie. En délivrant votre savoir aux autres (sous forme d’enseignement, par exemple), vous partagez votre don avec le monde. Vous faites un monde meilleur, vous aidez votre prochain. Cela peut paraître un peu extravagant, mais cette vision est nécessaire pour donner du sens à nos vies. Prenons un exemple. Une amie me confessait que son travail d’aide-soignante dans une maison de retraite la déprimait. Les astreintes de nuit, les soins lourds et humiliants à donner aux patients, les émotions liées à la décrépitude, tout un environnement qui détruit à petit feu. Je lui ai suggéré de voir la situation de façon différente, histoire de lui remonter le moral. En lui disant que ce travail était pour moi un vrai sacerdoce, il comportait un aspect essentiel : donner de la dignité à des êtres humains qui sont les naufragés de nos sociétés modernes (autrefois les vieux mourraient en famille). Cette vision philosophique permet de donner du sens à des tâches souvent ingrates. Chacun d’entre nous avons une place essentielle dans la société et sur Terre. Essayons de voir cet aspect mystique dans notre vie quotidienne.
La vision des mentors
Vous pouvez avoir un ou plusieurs mentors. Ce sont des personnes que vous connaissez personnellement, que vous suivez sur Internet ou que vous lisez régulièrement. Ils vous apportent une bouffée d’air frais dans votre vie. Leur vision du monde vous encourage à progresser, à grandir, à devenir la meilleure version de vous-mêmes. Ils vous encouragent à opérer des changements dans votre vie. Leur approche est dynamique et pleine de promesses.
Nous venons donc de détailler cinq façons de voir le monde, comme cinq paires de lunettes qui nous donnent une vision différente de la vie. Ils en existent beaucoup d’autres. Chacun est libre d’établir son propre éventail de visions. Celles-ci sont cependant les principales, mais rien n’interdit d’avoir d’autres approches comme une vision systémique, une vision pragmatique, une vision aristocratique, etc… Le plus important est de changer de lunettes de temps en temps pour pouvoir progresser et ne pas rester bloqué dans une situation stérile.
Imagination
L'imagination l'emporte toujours lorsqu'il y a un conflit entre la volonté et l'imagination. On ne crée par la vie que l'on veut, mais celle que l'on peut imaginer. « La liberté s’imagine avant de se vivre pleinement. »
La volonté vient de notre conscience, alors que notre imagination se loge dans notre subconscient. Suivant que nous utilisons notre volonté et notre imagination, séparément ou ensemble, les résultats vont suivre, ou pas.
La volonté vient de notre conscience, alors que notre imagination se loge dans notre subconscient. Suivant que nous utilisons notre volonté et notre imagination, séparément ou ensemble, les résultats vont suivre, ou pas.
Ainsi, plusieurs scenarios se présentent :
-La volonté couplée avec l’imagination donne évidemment les résultats attendus.
-La volonté seule, sans imagination, n’amène à rien si l’imagination n’est pas activée et féconde.
-Par contre, l’imagination par elle-même, sans la volonté, bouge des montagnes.
-Sans volonté et sans imagination, il est clair qu’aucun résultat n’est à espérer.
-La volonté couplée avec l’imagination donne évidemment les résultats attendus.
-La volonté seule, sans imagination, n’amène à rien si l’imagination n’est pas activée et féconde.
-Par contre, l’imagination par elle-même, sans la volonté, bouge des montagnes.
-Sans volonté et sans imagination, il est clair qu’aucun résultat n’est à espérer.
Ikigaï
L’Ikigaï est un concept japonais qui veut dire « raison d’être ». Le mot « Ikigai » est utilisé habituellement pour indiquer la source de la valeur d’une vie ou les choses qui rendent une vie signifiante et utile. Le mot traduit littéralement en français veut dire « chose pour laquelle on vit » ou « raison pour laquelle on se lève le matin ».
L’Ikigaï de chaque individu lui est personnel et spécifique à sa propre vie, à ses valeurs et à ses croyances. Il reflète le moi intérieur d’une personne et l’exprime fidèlement, en créant simultanément un état mental dans lequel l’individu se sent à l’aise. Les activités qui permettent à chacun de ressentir son Ikigai ne sont jamais forcées ou imposées. Elles sont spontanées et toujours entreprises volontairement, donnant à la personne une satisfaction et un sens de la signification de la vie.
L’Ikigaï est la jonction et l’équilibre entre quatre composantes :
- Ce que j’aime faire (plaisir).
- Ce dans quoi je suis doué (efficacité).
- Ce dont le monde a besoin (sens).
- Ce pour quoi je peux être payé (rémunération).
29 janvier 2020
Moment magique
Un moment magique, un mélange d'équilibre et de poésie.
https://www.youtube.com/watch?v=bMIWhSlHuhM&list=ULq-3jG8_97hs&index=583
https://www.youtube.com/watch?v=bMIWhSlHuhM&list=ULq-3jG8_97hs&index=583
8 janvier 2020
Lucie
Un petit bijou de Daniel Balavoine : "Lucie".
Lucie, Oh Lucie
Qu'est ce qui t'amène
Oh Lucie, Oh Lucie
Qu'est ce qui te gène
Toute la ville t'appartient
Toute la ville est dans tes mains
Le reste n'est qu'histoire ancienne
Tu connaissais déjà la fin
Qu'est ce qui t'amène
Oh Lucie, Oh Lucie
Qu'est ce qui te gène
Toute la ville t'appartient
Toute la ville est dans tes mains
Le reste n'est qu'histoire ancienne
Tu connaissais déjà la fin
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