– Appréciez le trait et comprenez qu’il peut servir un but utile. Les idéaux et valeurs élevées sont importants, même si cela vous remue quand vous cherchez à les atteindre.
– Envisagez les erreurs comme des sources d’expériences, comme des informations permettant de se rapprocher de vos buts. Ce sont les choses qui nous paraissent mauvaises, erronées, qui nous font prendre conscience de ce qui est bon et juste.
– Établissez des priorités. Autorisez-vous à être perfectionniste dans les activités qui ont une réelle importance pour vous, et non dans tous les domaines. On ne peut être parfait partout, il faut établir des choix certes difficiles mais nécessaires.
– Commencez un projet plutôt que de procrastiner. Commencer une tâche est souvent le plus difficile, ensuite le perfectionnisme travaillera pour vous. Si l’échéance est cause de stress et de paralysie, agissez en amont et commencez plus tôt votre projet.
– Maintenez des valeurs élevées pour vous-mêmes mais ne les imposez pas aux autres.
– Gardez espoir, même si les premiers résultats ne sont pas à la hauteur de vos espérances. C’est par la pratique qu’on se rapproche petit à petit de ses buts. Lisez les biographies de personnes célèbres qui ont connu d’intenses frustrations et ont dépassé ces obstacles grâce à leur persistance.
– Ne vous flagellez pas pour vos manquements. Focalisez votre énergie sur vos futurs succès. Ne vous dites pas « j’aurais pu mieux faire », dites-vous « la prochaine fois, je procéderai différemment ».
– Portez vos idéaux et croyez en votre capacité à les atteindre.
– Reconnaissez qu’il existe des aspects positifs et négatifs dans le perfectionnisme. Vous pouvez choisir comment vous souhaitez utiliser votre perfectionnisme.
– La peine peut accompagner le perfectionnisme. Reconnaissez-le et ne laissez pas cette peur vous bloquer. C’est une bonne souffrance car mise au service de vos aspirations. Si vous ne pouvez pas l’éviter, vous pouvez la surmonter.
– Envisagez les erreurs comme des sources d’expériences, comme des informations permettant de se rapprocher de vos buts. Ce sont les choses qui nous paraissent mauvaises, erronées, qui nous font prendre conscience de ce qui est bon et juste.
– Établissez des priorités. Autorisez-vous à être perfectionniste dans les activités qui ont une réelle importance pour vous, et non dans tous les domaines. On ne peut être parfait partout, il faut établir des choix certes difficiles mais nécessaires.
– Commencez un projet plutôt que de procrastiner. Commencer une tâche est souvent le plus difficile, ensuite le perfectionnisme travaillera pour vous. Si l’échéance est cause de stress et de paralysie, agissez en amont et commencez plus tôt votre projet.
– Maintenez des valeurs élevées pour vous-mêmes mais ne les imposez pas aux autres.
– Gardez espoir, même si les premiers résultats ne sont pas à la hauteur de vos espérances. C’est par la pratique qu’on se rapproche petit à petit de ses buts. Lisez les biographies de personnes célèbres qui ont connu d’intenses frustrations et ont dépassé ces obstacles grâce à leur persistance.
– Ne vous flagellez pas pour vos manquements. Focalisez votre énergie sur vos futurs succès. Ne vous dites pas « j’aurais pu mieux faire », dites-vous « la prochaine fois, je procéderai différemment ».
– Portez vos idéaux et croyez en votre capacité à les atteindre.
– Reconnaissez qu’il existe des aspects positifs et négatifs dans le perfectionnisme. Vous pouvez choisir comment vous souhaitez utiliser votre perfectionnisme.
– La peine peut accompagner le perfectionnisme. Reconnaissez-le et ne laissez pas cette peur vous bloquer. C’est une bonne souffrance car mise au service de vos aspirations. Si vous ne pouvez pas l’éviter, vous pouvez la surmonter.
Le perfectionnisme appliqué à soi-même peut aider à accomplir de grandes choses, alors qu’appliqué aux autres il entraine attentes, déceptions et ressentiment. Le perfectionnisme transcrit comme le fait d’essayer encore et encore conduit au succès, tandis que le perfectionnisme qui résulte de la paralysie, de l’évitement, de l’anxiété conduit à l’échec. L’important est de comprendre comment établir des priorités. Cela demande un courage considérable de vivre le grand écart entre « ce qui est » et « ce qui devrait être » et d’essayer de le réduire. Le désir d’autoperfection conduit à la souffrance, et tout le monde n’est pas prêt à l’endurer. C’est ce qui sépare une personne adulte portée par un engagement moral élevé d’une personne apathique qui s’est adaptée aux limitations qui existent couramment en chacun de soi et dans le monde. Les surdoués possèdent en eux la force suffisante pour mettre cette souffrance au service de leur développement personnel.