La grande nouveauté introduite par Dabrowski est que certaines pathologies de type angoisse, dépression, crise existentielle, etc, peuvent s'inscrire dans un processus de désintégration positive, et être utiles voire nécessaires à la construction de la personnalité. La difficulté, pour le praticien, est de faire un diagnostic différentiel entre les “pathologies utiles” et celles qui ne le sont pas.
Jacques Lacan (https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Lacan) liait la fin de l'analyse au passage de l'analysant à l'analyste ("la passe"), c'est-à-dire au moment où l'analysant devient son propre analyste. Cela pourrait correspondre à la transition entre le niveau 3 et le niveau 4 de la théorie de la désintégration positive. Cela pourrait aussi correspondre au passage à l'auto-psychothérapie recommandée par Dabrowski.
La fin de l'analyse est aussi d'après Lacan le moment où l'analyse chute, où le patient n'a plus l'envie de persévérer, de continuer à parler dans ce lieu à cet analyste, parce qu'il s'est passé quelque chose : d'après Lacan, ce quelque chose est la traversée du "fantasme fondamental", qui pourrait être décrit comme un postulat inconscient qui est l'armature de tout ce qui pose le sujet face aux autres, dans une position qui à la fois le soutien et le "coince". Cette traversée du fantasme fondamental, cet abandon de l'armature primaire, pourrait être comparé à l'aboutissement du niveau 3 chez Dabrowski. C'est dans la destitution subjective de ce fantasme, dans ce moment où le sujet peut lâcher prise de cette position dans laquelle il était encastré, que le sujet peut éprouver le désir d'occuper la place de l'analyste.
Jacques Lacan (https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Lacan) liait la fin de l'analyse au passage de l'analysant à l'analyste ("la passe"), c'est-à-dire au moment où l'analysant devient son propre analyste. Cela pourrait correspondre à la transition entre le niveau 3 et le niveau 4 de la théorie de la désintégration positive. Cela pourrait aussi correspondre au passage à l'auto-psychothérapie recommandée par Dabrowski.
La fin de l'analyse est aussi d'après Lacan le moment où l'analyse chute, où le patient n'a plus l'envie de persévérer, de continuer à parler dans ce lieu à cet analyste, parce qu'il s'est passé quelque chose : d'après Lacan, ce quelque chose est la traversée du "fantasme fondamental", qui pourrait être décrit comme un postulat inconscient qui est l'armature de tout ce qui pose le sujet face aux autres, dans une position qui à la fois le soutien et le "coince". Cette traversée du fantasme fondamental, cet abandon de l'armature primaire, pourrait être comparé à l'aboutissement du niveau 3 chez Dabrowski. C'est dans la destitution subjective de ce fantasme, dans ce moment où le sujet peut lâcher prise de cette position dans laquelle il était encastré, que le sujet peut éprouver le désir d'occuper la place de l'analyste.